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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 13:07


Au Buisson ce sont des bambous qui font l'objet des soins attentifs d'un passionné Michel Bonfils.
Ce jardin de verdure s'étale sur
deux hectares.  Chaque détour en dévoile tout le charme et une sérénité qui invite à la rêverie où à l'introspection.
Ce  jardin est ouvert au grand public.

Ainsi, au long de la visite, le profane apprend que, curieusement, le bambou est une herbe de la famille des graminées (poaceae), comme le blé, le riz, le maïs.
Tous les bambous possèdent des tiges souterraines appelées rhizomes, sur lesquels se trouvent des racines et des bourgeons qui en se développant en longues tiges vont devenir des « chaumes ». Les plus gros peuvent atteindre les 35 mètres de haut, pour un diamètre de 25 à 35 cm. A la différence d'un tronc qui s'accroît en diamètre, le chaume se déplie comme une canne télescopique (1 m en 48 heures dans de bonnes conditions climatiques) et atteint ses dimensions définitives en une saison.
La floraison reste mystérieuse, elle se produit à des intervalles très longs, souvent elle est grégaire et touche la même espèce dans le monde entier. On suppose qu'il existe une horloge interne capable de programmer cette floraison.
Après avoir fleuri, les chaumes se dessèchent.
 L'Europe ne compte plus de bambou à l'état spontané, les grandes glaciations l'ont fait disparaître de notre continent et on ne le retrouve  qu'à l'état de fossiles datant de l'ère tertiaire.
Il existe plus de mille espèces de bambous réparties dans le monde : Amérique, Afrique, Océanie et surtout Asie. Le bambou pousse sous tous les climats et peut résister à des températures inférieures à -20 degrés C.



 Diverses animations et spectacles
agrementent la saison estivale



 Le jardin Zen









      Les danseuses colorées


ZENITUDE ?

Constaté lors d'une visite au jardin de planbuisson...tout près du jardin Zen...la sérénité que dégage la bambouseraie incite sans contestation à la plus évidente "Zen attitude"... 


Pour en savoir +
www.planbuisson.com
               


A Urval, au chateau de la Bourlie, Véra de Commarque s'évertue à reconstituer le jardin original.
En mai, la roseraie offre un régal de parfums subtils et de couleurs délicates dans un bourdonnement d'insectes butineurs laborieux. Un petit plus de charme : la tonelle, taillée dans un if trois fois centenaire. Dans le secret de son feuillage, on s'isole pour un instant de méditation sereine, ou, bien à l'abri des regards indiscrets, pour un badinage romantique....









































Pour en savoir + www.chateaudelabourlie.com

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 18:18

Après avoir élu résidence a sa guise dans la ferme, squatté le canapé, le panier a bois, effectué mille singeries et accrobaties noisette est parti !... Fugue amoureuse ? appel de la forêt toute proche ? instinct profond de retour a une vraie vie d'écureuil ? Reviendra t'il ? nul ne sait. On est un peu triste dans la maison désertée par le joyeux animal. Seule "Miss Pincher" a retrouvé la sérénité pour de longues siestes dans un canapé pour elle toute seule....
Bonne chance Noisette !...

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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 14:25
Ce matin là un bébé écureuil se promène de manière insolite dans la cour de cette ferme de la forêt.
Il ne semble pas en grande forme et a la vue de la présence humaine, curieusement au lieu de s'enfuir,
il saute sur Marie Claire et grimpe après la jambe du pantalon. Elle saisit dans ses mains cette petite boule de poil et entreprend de le nourrir. Manifestement c'est le genre de traitement qui convenait a l'animal !...
En totale liberté il a investi la maison, vif, agile et facétieux,il court partout, joue sous le nez du chien, adore la sieste sur le canapé, grignote des noisettes perché sur l'anse du panier a bois qui lui sert également a quelques acrobaties de son cru. Toute la famille est aux anges devant tant de malice !.... Seule "miss pincher" est au desespoir, ravagée par les affres de la jalousie............elle s'est mise au régime noisettes!....

           Qui c'est celle là ?                                                               Ah ! elle veux une photo! vite un brin de toilette
                                                                                                      

                                                                                                                                                                   
  regarder moi cet intrus !...                                                                        Miam miam !...  la bonne noisette !...

  



















Il vaut mieux que je l'emporte  !...                                          
               Ben quoi ? je sais croquer moi aussi ! ...





                                                       
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11 mai 2008 7 11 /05 /mai /2008 09:16

MISSION BENIN  13e  


Les Cuma de Dordogne accompagnent avec succès, et depuis 13 ans le développement de l’agriculture Béninoise.

En 1995, cette « mission » a démarré dans le cadre d’un programme de professionnalisation de l’agriculture béninoise, initié par l’état français au travers du ministère de la coopération, mené par le SCAC ( Service de coopération et d’action culturelle) de l’ambassade de France. Ont suivi, 10 années d’accompagnement des paysans et des organismes professionnels béninois. Ce programme d’accompagnement à la mécanisation a démarré au nord du pays, sur les départements du Borgou et de l’Alibori. Une action qui a passionné un périgourdin, Claude Ladoire, président de la Cuma ELP (éleveurs du Périgord limousin) qui a considérablement œuvré au sein de l’AFDI ( agriculture française et développement international) pour développer l’aide à l’ agriculture de ce pays d’Afrique. L’AFDI demeure partenaire avec un nouveau président, Bernard Laval , la fédération départementale des Cuma porte cette action, rejointe par la fédération régionale des Cuma, les uns et les autres aidés par le conseil régional et le conseil général. Durant ces treize années d’autres partenaires se sont mobilisés. La maison familiale de la Filolie à Thiviers et le lycée agricole de Neuvic d’Ussel ont participé en confiant aux élèves des ateliers de mécanique, la remise en état de tracteurs où divers matériels d’occasion, par la suite acheminés au Bénin. Les élèves y ont trouvé leur compte en réalisant simultanément un vrai travail mécanique et une action humanitaire dont l’importance ne leur a pas échappé, renforçant leur motivation.
Sur le terrain, rien de gratuit mais un accompagnement à l’ investissement personnel des paysans béninois en créant leurs propres Cuma avec des prêts bancaires  sur cinq ans souscrits auprès de la banque régionale de solidarité béninoise au taux de 15% (tout de même !) Le matériel est pré-financé par les Cuma, le transport par l’AFDI.
De nombreuses journées de formation ont également été et sont toujours dispensées par les Cuma. Conduite et entretien du matériel, organisation du travail, gestion, prise de décisions démocratique en groupe…. Le matériel européen neuf se vend à prix totalement prohibitif au Bénin, mais une certaine évolution se fait jour avec l’arrivé de matériel chinois et indien disponible à prix plus abordable. Le choix par la république du Bénin de mener une politique de modernisation de son agriculture  lui a permis de  recevoir de la Chine et de l’Inde du matériel neuf revendu a moitié prix aux paysans. Cette modernisation s’impose.
En effet seulement 4% des surfaces agricoles sont cultivées mécaniquement. 26% avec des bœufs et 70% à la pioche. Les béninois sont un peuple laborieux, mais 8 jours pleins sont tout de même nécessaires à un homme costaud pour retourner 1 ha à la main !....
13 ans plus tard cette opération de développement est significative. Sur les deux régions du Borgou et de l’Alibori, 50 Cuma  sont en fonctionnement depuis plusieurs années.
Elles rassemblent une moyenne de dix paysans par Cuma, répartis sur environ 100 ha, sur lesquels sont produits, le coton, et des cultures vivrières, maïs, igname, soja, manioc, riz nérica…….
Pour ces régions qui bénéficient d’un climat où la saison des pluies coïncide avec le cycle végétatif, point besoin d’irrigation ! Mais demeure la nécessité de préparer la terre et de procéder à la récolte.
Les chauffeurs de tracteur des Cuma qui sont chargés de la maintenance du matériel viennent régulièrement en Périgord. Ils sont accueillis dans les  Cuma de Dordogne, chez les concessionnaires et peuvent ainsi se familiariser à des méthodes de travail rationnelles, où à la pratique des réparations en tout genre, ce qui représente une étape complémentaire aux formations reçues sur place. De leur côté les Cuma de Dordogne se rendent au Bénin, ce sera le cas du 18 mai au 1e juin prochain, à la faveur d’un véritable événement. Les 23/24 et 25 mai prochain seront le théâtre du tout premier salon « Plein champs » béninois. Le site retenu est celui du village d’Ina ( entre Parakou et Bembéréké). Là où est née la 1e Cuma du bénin, qui fonctionne depuis plus d’une décennie et vient d’acquérir un second tracteur.

 

 




Cette fois, un certain nombre de bonnes volontés se sont manifestées pour la fourniture et la remise en état du matériel. Ainsi, la marque « Kirpy » a fait don de 100 charrues et de diverses pièces détachées. Le réseau Cuma dont la Cuma des Eleveurs du Bergeracois et l’usine de deshydratation Grasasa à Sainte Sabine proposent du matériel de complément et l’assistance mécanique d’Henri Vilatte (mécanicien retraité de la Cuma des éleveurs) de Jean-Marc Leyssalles (grasasa) ainsi que Jean-Pierre Rodriguez de Grand Bordas. Vendredi dernier un container a été chargé dans l’effervescence à Sainte Sabine. Tous attendent impatiemment le départ, c’est pourtant un séjour laborieux qui les attend entre remontage des outils, formation, préparation du salon….

Bel exemple non pas d’aide humanitaire banale et fugace, mais bien d’un programme conduisant au véritable développement agricole d’un petit morceau de continent où l’autosuffisance alimentaire est loin d’être acquise. Pourtant cette autonomie vivrière qui suppose un fort développement des pratiques agricoles grâce à une mécanisation raisonnée , rigoureusement organisée, ne serait elle pas l’élément indispensable à un certain équilibre mondial.

En savoir + www.cumabenin.com

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 15:10

Chaque année le week end de Pâques, la Grappe de Cyrano, est devenu l'enduro mythique du Périgord.Les caprices météorologiques de 2008 ont permis aux concurents de soigner leurs rhumatismes par des bains de boue, sans avoir recours au séjour en cure...
A Cadouin, la prairie de la spéciale dans l'herbe est devenue la spéciale marécage du Bélingou (Le ruisseau).
On connaissait le bourbier de Larzac, les courageux motards connaissent désormais celui de Cadouin.
C'est mouillés, crottés, fatigués qu'il sont arrivés se restaurer.
De quoi retrouver aussitôt le sourire grâce a l'accueil chaleureux, au repas chaud et a l'organisation sans faille qui leur a offert d'être instantanément servis a mesure de leur arrivée. L'équipe cadunienne des bénévoles a apprécié cette journée de travail dans l'esprit de fête et de partage cher au village. Les corps et les cœur réchauffés, les concurrents sont repartis affronter le froid et la boue pour les dernières étapes.
 
                                                                                                       
Preuve de la pénibilité de l’épreuve, moto et concurente     l’une et l’autre bien crottées se laissent aller à une grosse fatigue, un instant de repos original et une utilisation inédite des nouveaux aménagements de la place !...........
                                                                                                       

 
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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 17:56

 Le plateau de la forêt Bessède a parfois connu des vents trop violents qui ont laissé de mauvais souvenirs. Mais ce  dimanche là pas un souffle !... 
Pour être dans l’air du temps, Eole était en grève !…
Guy venu de Biscarosse participer a un concours de planeurs en a fait les frais.
 Les planeurs une fois lâchés devaient utiliser les courants afin d’effectuer un circuit, Périgueux/Angouleme/Fumel et retour à Bassillac.
Pour Guy, aux commandes du  C 60, ça planait bien !...
 Un trajet Périgueux/Angouleme bien effectué malgré quelques difficultés.
 Mais...... au 170e kilomètre…….. point de Fumel a l’horizon !…
L’attraction terrestre d’un champs de tournesol tout juste ensemencé a vaincu les velléités voyageuses du C 60…..
Sur le plateau les moineaux, vaches , chevaux, ânes et moutons, les asphodèles, orchidées et autres fleurettes ont retenu leur souffle et regardé tournoyer l’oiseau blanc à la recherche de la plus petite brise avant  qu’il ne descende lentement…. et atterrisse un peu brutalement mais sans grosse casse.
 Paysan a donc démarré un moteur....celui du tracteur afin de tirer l’intrus de sa fâcheuse posture…..

 

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 16:00

Dans le midi et dans le grand Sud Ouest , particulièrement en Périgord, le mot CON est abondamment  utilisé dans le langage courant familier.
Mais pas toujours dans un esprit péjoratif.
 Avant de vous y aventurer (dans le sud ouest...) et de vous vexer (il n’y a vraiment pas lieu) voici un petit lexique des déclinaisons. (non exhaustif).
Edité à l’intention d’un certain Renaud, Alsacien de son état, compagnon de fille aînée, peu au fait des moeurs du « Sud », qui s’est cru un instant persécuté par « belle maman » le traitant (pourtant) affectueusement de « couillon » et qui s'en trouva fort « couillonné !.... 

 

Ø      Dire d’un individu : « c’est un con ! » relève bien sur d’un certain mépris mais demeure limité, cela reflète plutôt une certaine indifférence pour quelqu’un que l’on apprécie peu.
 A tort ou a raison d’ailleurs, car n’oublions pas que nous sommes tous
« le con » de quelqu’un d'autre !...

Ø      Dire : «  il est un peu con » n’est pas très méchant , ajouter il est  « con con » suppose une relative indulgence pour une personne un peu simple.

Ø      Le « jeune con » pourrait être traduit par « jeune coq prétentieux »

Ø      Les choses se gâtent avec : « pauvre con » là le mépris est  important.

Ø      Plus grave encore « le sale con »

Ø      Le « petit con et vieux con » font référence à l’âge, mais demeurent  vaguement affectueux. Ici c’est l’intonation  qui détermine l'injure ou pas...

Ø      Par contre « sale petit con » ou « sale vieux con » ou encore « pauvre sale vieux con » ne prêtent à aucune confusion. Il y a colère ! C’est bien une injure !..

Ø      Dès que l’on se frotte au « connard »  aucun doute !...surtout précédé des adjectifs « pauvre »« sale « 

Ø      Tout droit dérivé du con on trouve évidement le « couillon » terme plutôt affectueux , abondamment décliné et féminisé.

Ø      Les plus connus sont bien sur le « couillon »  la « couillonnette ou le couillonnet(ou) » désignant le gentil couillon que l’on aime bien « couillonner ».

Ø      Le, la, où, les « couillonneurs(euses) » sont ceux qui pratiquent « les couillonnades » et ainsi « couillonnent » les « couillonnés ».

Ø      Les « couillonnades » sont des blagues gentillettes, juste pour rire sans méchanceté aux dépends de quelqu’un qu’on aime bien taquiner.

Ø      Par contre  la où les « couillardises » sont plus grave.

Ø      Les « couillardises » sont des blagues méchantes , des sottises commises où bien  de gros ennuis. « Il lui arrive une couillardise » peut désigner une maladie grave où un événement très fâcheux .

Ø     Le « couillard » dépasse le « sale con », là aussi l’association avec « pauvre ou sale » est aggravante. « Pauvre couillard ou sale couillard » indiquent un grand mépris à connotation presque haineuse     

Ø      « Grand couillon et vieux couillon » demeurent des termes assez affectueux juste destinés a souligner une certaine maladresse d’action ou de raisonnement chez quelqu’un que finalement on aime bien...

 

 Tous ces termes gracieux peuvent parfaitement être féminisés!...
( conne, connasse, couillonne , couillonnette etc…) mais il faut bien reconnaître que l’on y perd en élégance !...................

 

 

PETIT ASSORTIMENT D’EXPRESSIONS, JURONS OU  EXCLAMATIONS DECLINEES

Le classique « Oh con !.. » exclamation d’étonnement, d’admiration, ou d’horreur a donné naissance à la petite histoire en forme de devinette suivante :

« Dans le Sud ouest quel mot commence par F se termine par N et qualifie une chose qui tombe des arbres à  l’automne ?

Réponse : les « Feuilles con ! »

 

également abondament utilisées  " c'est trop con" « Putain con !.. »

 «  eh bé con !... » « ça c’est pas con ! »

 où « con de chichounne ! » Où encore

 « con de bon dieu ! » (pardon mon dieu !...)
les choses se gâtent avec

« grand con de dieu !.. »  « con de bordel » plus grave encore « grand con de bordel de dieu »

 l’adorable « con la lune » qui qualifie le rêveur .....
 et  n’oublions surtout  pas  le sublime…… « con d’Adèle !... » 
On se demande qui pouvait bien être cette Adèle pour passer ainsi a la postérité !...

 

En avez-vous d’autres ?.... je les attend !..........................

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 09:33

 

Ce sont environ 3000 spectateurs qui ont assisté au son et lumière estival concocté par le talent de Philippe Cotten où Coz Ten.
Pour le plaisir de tous le ciel avait décidé d’accorder ses faveurs par une météo clémente. En attendant la nuit, les acteurs de l’association « Au Fil du temps » ont diverti avec des scènes de théâtre de rue, pendant que les musiciens de l’ensemble « Veziana » égrenaient leurs notes médiévales .
Puis, l'obsurité  venue, l’enchantement !
Une architecture remodelée, valorisée, revisitée  au gré des jeux de lumière d’une extrême précision.
De nombreux clins d’œil à l’histoire de l’abbaye émaillaient également la soirée, l’embrasement du clocher et l’apparition du visage du christ, hommage au vrai faux saint suaire et aux glorieux pèlerinages d’antan.
Pour l’anecdote, un projecteur  naturel et inattendu. Apparition facétieuse au dessus de la ligne des toits, madame la lune a voulu participer à la fête. L’ensemble Vénezia a poursuivi  la soirée  par un bal sur la place où les derniers spectateurs ont pu se réchauffer.

 

 

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31 mars 2008 1 31 /03 /mars /2008 09:24

 

 

 Appuyé sur son bâton de roulier pour un instant de repos, les pieds couverts de multiples pansements dans des chaussures de moine, il écoute attentivement la musique d’un concert impromptu sous la halle du 15e.
Silhouette anachronique du pèlerin malgré le sac à dos moderne, qui est il ? ou va t’il ? Serait-il en route pour Compostelle ?
Eh bien non ! Il y a quelques jours c’était la Saint Bernard . Il y a fort longtemps ce saint avait  fait le voyage à pied depuis Bergerac, dormi à Cadouin et continué sa route vers Sarlat.
Afin de lui rendre hommage Patrick a marché dans ses pas depuis Bergerac, un pèlerinage sur les traces de ce brave Saint Bernard dont Cadouin s’enorgueillit de posséder une statue qui veille sur la fontaine du même nom. Il n’a malheureusement pas pu s'y désaltérer , car, hélas, depuis plusieurs mois elle refuse obstinément de couler.......attendons le miracle !...
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30 mars 2008 7 30 /03 /mars /2008 19:36

Petit garçon est malheureux!
 Kit’cat son jeune chat a disparu depuis trois longs jours.
Puis ce matin en levant le nez !…Maman, papa il est là haut !
Là haut c’est dans le bouquet d’un pin à quelques 
15 mètres de hauteur. L’aventurier de l’escalade est en fâcheuse posture, il ne sais plus descendre et miaule désespérément en regardant son jeune maître.
Que faire ?
On va appeler copain Daniel !
Il a une grande échelle et puis il est pompier.
 Grâce a la devise « Sauver où périr » il va bien aider minou !..
 Sitôt dit sitôt fait !
 Voici Daniel avec son échelle de 12 mètres.
Chez les pompiers on ne badine pas avec la sécurité, l’échelle bien calée,solidement arrimée il peut grimper.
Hélas trop court !
 Petit garçon pleure, petit chat miaule, il faut agir.
 On ajoute une perche au bout de laquelle est attaché un panier contenant de la nourriture.
Au bout de l’échelle,  le bras tendu avec perche et panier , notre héros fatigue !….
Mais la faim a fait son œuvre, Kit’cat consent enfin à plonger dans le panier.
Ouf ! sauvé ! la descente est comme dans un ascenseur (très rapide tout de même…)
 Petit garçon, soulagé saute au cou du héros, petit chat affolé se cache dans le bosquet.
Mais le calme revenu il arrive fier et  tranquille retrouver sa gamelle en ronronnant de bonheur.
 Merci Daniel !

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